" TwinAir pour la 500 !! "

Ni hybride ni électrique, mais parfois avec un Stop & Start, auto, moto et tout autre véhicule. Essence, diesel, GPL, GNV, etc...
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cobra9
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" TwinAir pour la 500 !! "

Message par cobra9 »

http://www.unica-strada.com/blog/2010/0 ... ur-la-500/

vivement un essai de ce petit moteur !
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par webmaster »

Oui, son développement a été long, alors je suppose que cela fut pour le rendre tres performant. Dans la version avec gaz naturel, ce sera un champion du CO2.
Ghizmo
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par Ghizmo »

Je ne vois pas trop où est la révolution: le tri-cylindre 0.7 l de Smart avec son turbo sortait déjà 82 ch voir même 102 ch dans la version Brabus.
Ok, le turbo n'était pas très résistant si on en prenait pas soin, mais le moteur était bien sympa car très vif (léger) avec une conso et des rejets bien maîtrisés.

Peut-être que Fiat fera un peu mieux, mais je ne m'attends pas à une révolution, les lois de la thermodynamiques sont toujours les mêmes: on ne peut plus faire de miracle, sauf peut-être avec le moteur à taux de compression variable. Il en est où d'ailleurs le moteur MCE-5 ?
Ça fait quand même plus de 10 ans qu'ils bossent dessus...
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

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J'imagine pas mal de couple pour un aussi petit moteur, et un avantage prix avec un moteur qui devrait se révéler peu coûteux à fabriquer. Côté conception, j'imagine aussi une mécanique bien plus compacte que les 4 en ligne qu'il va remplacer, mais il faudrait que Fiat conçoive une voiture spécifiquement pour ce moteur pour l'exploiter, où il n e serait pas possible de loger un 4 cylindres. J'ignore encore si ce sera le cas de la future Topolino.
cobra9
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par cobra9 »

Merci pour les news sur le moteur, je pense que tu es le premier à sortir TOUT les chiffres ; je met un copier-coller d'une de mes réponses
sur le site http://www.unica-strada.com :

au sujet du Twin Air , j’ai lu une new de moteurnature.com :
0,875 L / 85 ch / 145 Nm à 2000 tr/mn…..très bien ce couple à si bas régime ! . En version 105 ch ça va donner encore mieux !
En attendant , le 85 ch ça lui donne une puissance spécifique de 97 ch/L presque autant mais plus que le1,4 L de la Abarth.
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

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J'ai un truc, les chiffres que j'ai donné, ils n'étaient pas dans le communiqué de presse qu'a publié Fiat pour le salon. Alors ceux qui se contentent, souvent par manque de budget, c'est à dire de temps, de lire les communiqués de presse ne les ont pas eu.
cobra9
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par cobra9 »

ah ok ! bien jouer ! :D .....j'ai lu qu'il faudra attendre septembre pour en connaître la couleur, pfff c'est loin :|
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

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On pourra commander l'auto dés le début de l'été, mais oui, les livraisons ne seront sans doute pas avant septembre.
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par cobra9 »

je viens de voir que les tarifs de la version 85 ch sont sur le catalogue de la 500 ! outch la différence de prix avec le 1,2 L 69 ch = 1800 euros !!!...et seulement 200 € avec le 100 ch .

http://www.fiat.fr/FIAT_FRANCE/uploads/ ... 072010.pdf

par contre niveau conso mixte et CO² , là c'est top ! dû moins en ces temps .

elle consomme autant ( cycle mixte ) que la C3 diesel que j'utilise ! et encore moins avec la boîte Dualogic ! Bon après on pourra toujours dire que les chiffres constructeurs sont faux pourtant avec la C3 j'arrive à l'atteindre ( 4,3 L aux 100 kms hors autoroute )

la 500 avec le nouveau 85 ch , ça lui fait un rapport poids/puissance qui tourne autour de 11 kg/ch , c'est plutôt correct .
En plus vu ses chiffres, elle éclipse le 1,4 L de 100 ch en couple : + 14 nm , en conso mixte : - 1,6 L , en Vmax : seulement 5 kms en moins et 1/2 seconde de + de 0 à 100 kms/h .

je pense que les reprises seront meilleures que le 1,4 L ....si je m'en tiens sur le papier .
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par webmaster »

Tiens, je suis surpris que ce document soit en ligne, il me semblait que le bicylindre ne serait pas disponible avant septembre.

Je me méfie des tarifs Fiat. On obtient toujours de belles remises chez Fiat... C'est assez logique que le petit moteur de 85 ch soit plus cher que le gros de 69 ch, c'est la sophistication qui fait le prix, mais oui, l'écart est assez élevé.
cobra9
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par cobra9 »

je viens de lire sur Unicata Strada , et venant d'un membre du forum, que la sortit était le 4/07 ! ...je suis un peu étonné mais bon vu que c'est aussi sur le catalogue , ça concorde .

J'espère que tu pourras l'essayer .
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

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Je viens de vérifier, le bicylindre n'est pas sur le configurateur en ligne sur le site Fiat. J'en déduis que la personne qui a mis en ligne le lien était de Fiat, ou très bien informé de ce que fait Fiat...
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

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J'ai eu un mail de Fiat aujourd'hui à 13h12 à propos du bicylindre.
Fiat 500 et 500C équipées du révolutionnaire moteur bicylindre TwinAir de 85 ch
Le 4 juillet 2007, 50 ans exactement après le lancement de la première Fiat 500, la nouvelle Fiat 500 était présentée, toujours à Turin, lors d'un évènement mémorable. Depuis cette date, la deuxième génération de la voiture qui a marqué l'histoire automobile italienne, a rapidement conquis le cœur de tout le public. Pour combler les attentes des nombreux passionnés et clients du monde entier, nous avons décidé de célébrer chaque anniversaire de la petite Fiat non seulement en organisant des évènements captivants mais aussi en lançant chaque année une nouveauté particulièrement intéressante : ce fut le cas en 2008 avec l'organisation de pique-niques dans les principales capitales européennes et le lancement de la 500 Abarth, la performante et sportive déclinaison de la marque au Scorpion. En 2009, nous avons présenté la Fiat 500C, l'originale version cabriolet qui rend hommage au style de la voiture « découvrable » de 1957 et qui en quelques mois a atteint plus de 32 000 commandes. Aujourd'hui, à l'occasion du troisième anniversaire de la 500, Fiat présente l'innovant moteur bicylindre TwinAir de 85 chevaux (900 cm3) qui sera commercialisé à partir du mois de septembre sur les Fiat 500 berline et cabriolet.
Premier exemplaire d'une nouvelle famille de moteurs bicylindres conçus par FPT - Fiat Powertrain Technologies, ce moteur utilise le révolutionnaire système MultiAir associé à une dynamique des fluides spécifique et optimisée pour obtenir le meilleur rendement de la combustion. En outre, grâce au concept de « downsizing » et à une savante mise au point de la mécanique, la nouvelle famille - avec des puissances comprises entre 65 et 105 ch - assure une réduction des émissions de CO2 pouvant atteindre 30 % par rapport à un moteur de même puissance.
À noter que le nouveau bicylindre TwinAir de 85 ch vient s'ajouter aux nombreuses solutions technologiques déjà adoptées par la Fiat 500 pour réduire la consommation de carburant et les émissions polluantes. Comme le démontre l'élargissement récent de la gamme moteurs avec l'incorporation du 1.3 Multijet de deuxième génération d'une puissance de 95 ch. Grâce à 8 injections par cycle, le 1.3 Multijet II offre une amélioration du couple à bas régime atteignant 38 % avec une réduction de 6 % des émissions de CO2. Toujours dans le cadre de la protection de l'environnement, la Fiat 500 (berline et cabriolet) est équipée du système Start&Stop qui gère la coupure momentanée du moteur et son redémarrage successif lors des phases de fonctionnement au ralenti avec véhicule à l'arrêt : nous obtenons ainsi une réduction moyenne de la consommation allant jusqu'à 12 % en cycle urbain. Par ailleurs, la gamme de la Fiat 500 propose le système eco:Drive, un logiciel innovant qui permet - via le port USB du système Blue&Me - d'analyser le comportement de conduite de l'automobiliste pour l'aider à optimiser sa consommation et la réduction des émissions de CO2.
La Fiat 500 exprime parfaitement l'engagement de Fiat dans le domaine de la protection de l'environnement et de la sensibilisation des usagers envers une utilisation de plus en plus responsable et « éco-compatible » de leur voiture. Ce n'est pas par hasard si, pour la troisième année consécutive, Fiat a été la marque la plus écologique parmi les 10 marques automobiles les plus vendues en Europe avec un niveau moyen d'émissions de CO2 de 127,8 g/km contre une moyenne du marché de 145,8 g/km (analyses de l'institut indépendant Jato Dynamics). Il faut souligner que la croissance extraordinaire du méthane, le carburant le plus écologique et économique aujourd'hui dans le commerce, a considérablement contribué à ce record. Décidé il y a plus de dix ans, ce choix clairvoyant a mené Fiat à la conquête du leadership incontesté en Europe dans le secteur des véhicules de première installation au méthane (OEM) comme le démontrent les chiffres obtenus jusqu'à aujourd'hui avec presque 400 000 unités vendues de la gamme Natural Power, une ligne composée de 14 modèles, divisés en voitures et véhicules commerciaux, à double alimentation (méthane/essence) capables de répondre à toutes les exigences de mobilité.
En parfaite harmonie avec cet engagement de protection de l'environnement, le tout nouveau moteur bicylindre TwinAir de 85 ch marque une avancée significative qui contribuera certainement à augmenter le succès commercial et les récompenses internationales que nous avons jusqu'à présent obtenus : 52 prix glanés à l'échelle mondiale et l'objectif de 500 000 unités vendues, atteint en avril dernier, 31 mois seulement après sa commercialisation. Pour fêter ce record, nous avons lancé une initiative internet dénommée « 500 Millesima », qui verra la réalisation d’un show car doté d'une carrosserie entièrement recouverte d’une mosaïque de 1 500 tesselles portant le visage de propriétaires, de personnages célèbres ou de simples passionnés qui ont contribué, à différent titre, à son extraordinaire succès. La Fiat 500 Millesima est donc la première « voiture collective », ce qui confirme l'esprit du modèle d'origine qui avait compté, dès les phases de conception, sur la participation active des clients potentiels. En effet, pour la première fois dans le domaine automobile, à partir du 3 mai 2006, de nombreux passionnés du monde entier ont été directement impliqués - via le site internet « 500 wants you », la plate-forme internationale de marketing - et ont exprimé leurs souhaits au sujet de la future voiture. Par la suite, ces suggestions ont été recueillies par les concepteurs et les ingénieurs de Fiat Automobiles qui les ont transformées en objectifs à atteindre en utilisant des solutions et des équipements se rapprochant le plus possible des attentes des clients potentiels. Bref, Fiat 500 est vraiment « une auto créée pour les gens, à partir de leurs idées ». Et de nos jours, le site http://www.fiat500.com compte une « communauté » de plus de 120 000 usagers actifs dans 206 pays différents qui participent aux plus de 30 activités en ligne pour un total de 240 millions de pages consultées.
Expression du meilleur Made in Italy dans le domaine automobile, la Fiat 500 n'est pas seulement une citadine, mais une véritable « plate-forme » créée par Fiat Automobiles pour réaliser une famille entière de voitures avec la technologie évoluée et le soin du détail réservés habituellement aux catégories supérieures. Sans oublier que la 500 a introduit de nombreuses nouveautés et conquis d'importants records dans son segment. Par exemple, en 2007, elle a été la première voiture mesurant à peine 3,55 mètres de long à obtenir les 5 étoiles EuroNCAP. De même, l'adoption de 7 airbags de série (y compris l'airbag genoux, la seule parmi les voitures compactes) et la disponibilité de l'ESP évolué sur toutes les motorisations (de série sur le 1.4 16v 100 ch) ont constitué une « première » absolue dans cette catégorie. Sans compter, qu'en 2007 déjà, Fiat 500 s'est présentée avec toute la gamme de motorisations en mesure de respecter les limites d'émissions fixées par la norme Euro 5, et ce, avec trois ans d'avance sur l'échéance législative. Fiat 500 a aussi été la première citadine à présenter une offre aussi vaste et articulée, caractéristique des voitures de segment supérieur, qui mettait à disposition du client plus de 500 000 variantes en combinant les différents équipements, motorisations, intérieurs, sellerie, teintes de carrosserie, jantes, accessoires, etc. Les nouveautés concernant le produit se sont aussi succédé à un rythme incessant : 500 by Diesel (septembre 2008), 500 Pink (juin 2009), 500C (juillet 2009), 500C by Diesel (juin 2010).
Enfin, avec le nouveau moteur TwinAir, est également lancé sur le modèle Fiat 500 le système innovant Blue&Me – TomTom, la dernière évolution de la plateforme Blue&Me. Il s'agit d'un système d'info-tainment complètement intégré qui permet de gérer, via un écran couleur tactile pratique, le téléphone, la navigation et toutes les informations nécessaires au conducteur. Par ailleurs, l’application de ce système sur la Fiat 500 comprendra une fonction supplémentaire qui permettra aussi de gérer Media Player via l'interface à écran tactile.
Blue&Me – TomTom trouvera sa place dans un logement pratique et élégant situé sur la planche de bord de la Fiat 500, combinant la sécurité et le confort d'une solution intégrée à la flexibilité des dispositifs portables. N'oublions pas que l'innovant dispositif est le fruit d'un partenariat entre Fiat Group Automobiles et TomTom, leader en Europe dans le domaine de la navigation portable, et il s'intègre à la voiture grâce au système Blue&Me, développé en collaboration avec Magneti Marelli.


La présentation à la presse sur le circuit du Valentino

La présentation à la presse internationale de la Fiat 500 Twin Air s'est déroulée au Parc Valentino, le plus célèbre et le plus ancien parc public de Turin, situé le long de la rive gauche du Pô, entre les ponts monumentaux Umberto I (Avenue Vittorio Emanuele II) et Isabella (Avenue Dante). Caractérisé par un très riche patrimoine en arbres et faune ornithologique, le Valentino a accueilli jusqu'en 1955 le Grand Prix de Formule 1 du même nom. Un emplacement au charme certain, donc, qui incarne parfaitement le binôme « puissance et respect de l'environnement » personnifié par la technologie TWIN AIR.
Les origines du parc sont estimées à une époque relativement lointaine : fin du moyen-âge ; en effet, à l'époque déjà, on utilisait dans la région le toponyme « Valentino », d'origine incertaine, qui, à partir du XVIIème siècle, fut utilisé pour désigner le château des Savoie (Château du Valentino, l'une des résidences royales des Savoie, patrimoine mondial de l'UNESCO) et la zone limitrophe. Le parc du Valentino, bien qu'encore sans fonction publique, fut conçu pour la première fois en 1630, sur un projet de Carlo Cognengo de Castellamonte, et fut poursuivi ensuite jusqu'en 1660 par son fils Amedeo.
Mais ce fut au cours de la deuxième moitié du XIXème siècle, avec l'abattement de la muraille ordonnée par Napoléon, que commença pour Turin une nouvelle phase urbanistique caractérisée par une forte croissance de la population. C'est précisément alors que naît l'espace vert public au sens moderne et pour créer une promenade publique, la ville pense à la zone située autour du Château du Valentino. Les travaux débutèrent en 1863-1864, sur une nouvelle conception partielle du parc de l'architecte français Barillet-Deschamps qui, en s'inspirant des principes du parc de paysages, améliore l'emplacement des allées, des bosquets, des vallées artificielles et conçoit une petite piste d'entraînement pour chevaux et un petit lac, ensuite asséché, qui servait de « patinoire » en hiver.
Avant même d'être complètement terminé, le parc devint le décor de grandes expositions nationales et internationales qui eurent lieu entre 1829 et 1961. L'Exposition Générale Italienne de 1884 supposa la réalisation du bourg médiéval, une vue d'ensemble des principales caractéristiques stylistiques et architectoniques des œuvres piémontaises et du Val d'Aoste du Moyen-âge, y compris bien sûr une Forteresse ouverte au public. Après l'Exposition de 1911, le parc garda ses dimensions actuelles.
En 1935, la capitale italienne de l'automobile aménage son propre circuit précisément dans la zone du Parc du Valentino. Sa longueur de 4 088 mètres et sa première édition, qui se dispute le 7 juillet, remportent immédiatement un vif succès : le vainqueur est Tazio Nuvolari sur l'Alfa Romeo, suivi de ses compagnons d'écurie Antonio Brivio et Carlo Pintacuda. Nino Farina se place quatrième au volant d'une Maserati. Le départ est donné devant le Château du Valentino et le tracé se déroule en grande partie à l'intérieur du parc. L'aménagement prévoyant la construction de tribunes mobiles pour le public et de la tourelle pour les commissaires et la presse, représente un travail considérable.
La manifestation se répète deux ans plus tard, le 18 avril 1937. Ce sont toujours les Alfa Romeo qui dominent la catégorie la plus importante, celle des monoplaces de GP : le vainqueur est Antonio Brivio, suivi de Nino Farina. Le pilote turinois a entre-temps rejoint l'écurie milanaise. La compétition se dispute sur une distance totale de 175 km et le tracé se révèle particulièrement tortueux, puisque la moyenne du vainqueur est de 93,629 km/h. À titre de comparaison, sur le circuit de Monte-Carlo, le vainqueur (Von Brauchitsch sur Mercedes) roule à une moyenne de 101,815 km/h.
La compétition connaît une longue interruption pour ne reprendre que dans l'après-guerre. Le conflit a pris fin depuis peu et l'industrie automobile reprend la production parmi de nombreuses difficultés. Les compétitions sont cependant un banc d'essai important pour mettre en relief ses produits.
L’Automobile Club de Turin, pour sa part, réalise un effort considérable et parvient à aménager, le 1er septembre 1946, le circuit qui accueille le 1er Grand Prix de Turin. Les règlements sportifs changent peu à peu et, bien qu'un véritable championnat mondial de la spécialité ne soit pas encore organisé, nombreux sont les rendez-vous de prestige où les principaux fabricants automobiles se confrontent. Turin est l'un d'entre eux. Le circuit est méticuleusement aménagé et le public répond avec enthousiasme. La manifestation prend un caractère international, même si ce sont les Alfa Romeo 158 équipées de compresseur qui sortent vainqueurs. Les deux premières places du classement reviennent en effet à Achille Varzi et Wimille. La vitesse moyenne du vainqueur sur les 283,200 km de la compétition atteint 109,088 km/h car le circuit a été rendu plus rapide en y incorporant certains tronçons de l'Avenue Massimo D’Azeglio. La troisième place est remportée par Sommers sur Maserati. Tazio Nuvolari est contraint à l'abandon. L'évènement ne se termine pas avec le GP mais se poursuit deux jours plus tard avec la Coupe Brezzi, pour voitures dépourvues de compresseur d'une cylindrée limitée à 1 500 cm3. Cette catégorie est dominée par les Cisitalia de 1 100 cm3 fabriquées par le turinois Piero Dusio. De nombreux champions, comme Chiron, Taruffi et Nuvolari, sont invités à la compétition. Ce dernier sera précisément le protagoniste d'un épisode qui restera dans les annales : après avoir été en tête de la course, la fixation de son volant se casse. Le pilote poursuit pendant quelques tours en utilisant le petit bras métallique de blocage du volant mais les commissaires de course l'obligent à s'arrêter. La compétition est remportée par Dusio, constructeur mais aussi bon pilote.
La Ferrari inscrit son nom au palmarès de la compétition l'année suivante grâce à Sommers qui remporte une course de 540 km à une vitesse moyenne de 108,825 km/h.
1948 est l'année de l'édition la plus prestigieuse. Le Grand Prix d'Italie se dispute en effet à Turin et les meilleurs pilotes du moment sont au départ. La compétition a lieu le premier week-end de septembre sous une pluie incessante. Elle est le décor de l'affrontement entre les escadrons d'Alfa Romeo (avec Wimille, Trossi, Sanesi), Maserati (Villoresi, Ascari, Taruffi) d'une part et les Ferrari de Farina, Sommers, Bira et les Talbot de Chiron, Rosier et Comotti d'autre part. Nombreux les accidents lors de la course. À la fin, Wimille mène au triomphe la seule Alfa restée en course devant la Maserati de Villoresi, avec un tour d'avance.
En 1950, le premier Championnat du Monde de Formule 1 est institué. Le Grand Prix italien désigné se dispute sur le circuit de Monza. Pendant deux ans, aucune course ne se dispute à Turin mais en 1952, le circuit du Valentino accueille à nouveau des voitures de compétition. Le Grand Prix de Turin est remporté par Gigi Villoresi sur Ferrari. En 1953 et en 1954, ce sont les voitures de Sport qui animent le circuit de la ville qui, en 1955, vit avec éclat sa dernière édition grâce à l'épreuve du GP de Formule 1 remportée par Alberto Ascari sur Lancia, après un beau duel avec Luigi Musso sur Maserati. Les Formule 1 sont désormais très rapides. Ascari remporte en effet la compétition à une moyenne de plus de 141 km/h.
L'article va suivre...
cobra9
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par cobra9 »

par rapport à la new que tu as mise ( commentaire et tableau de comparaison ) , il me semblait qu'il y avait aussi une version 95 ch diesel .

En tous cas , c'est direct le twin-air que je prendrais ....en espérant qu'il soit fiable évidemment , quelqu'un sur un autre forum a rapporté qu'après un long essai des journalistes ont eu des soucis sur une Mito ( je crois ) Multi-Air mais bon, sans plus de précisions ....si c'est logiciel , c'est pas grave .
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par webmaster »

Ben oui, il y a un diesel 95 ch, je l'ai mis.
Moi, j'attends l'année prochaine, avec la nouvelle Panda, il est pas impossible que j'en achete une. J'ai toujours été fan de la Panda...
cobra9
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

Message par cobra9 »

ah ! désolé j'ai lu trop vite le tableau :mrgreen:
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Re: " TwinAir pour la 500 !! "

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ça arrive...
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